ZOOM SUR LE QUARTIER LIBERATION-BORRIGLIONE A NICE
Libération-Borriglione : un quartier vivant
😃 😁 🤣
Le quartier Libération-Borriglione tient son nom de l’ancien maire de Nice, Alfred Borriglione.
Situé au bout de l’avenue Jean Médecin, le quartier est doté de restaurants, cafés, bars, commerces et marchés qui rythment la vie de celui-ci.
Peuplé de très beaux immeubles bourgeois côtoyant bien souvent des appartements niçois, ce quartier populaire et animé qui est central est très bien desservi par les transports en commun (tramway, gare et bus).
Un marché à l’ambiance conviviale
Le marché dans le quartier de la Libération à Nice a lieu le matin du mardi au dimanche. Il se trouve place de la Libération, accessible en tram de la ligne T1 direction "Libération". Sur ce marché il y a plus de 120 étals qui proposent fruits et légumes, produits de producteurs et produits locaux. Le nombre d'exposants et les produits proposés sont variables selon la saison.
La Gare du Sud en pleine métamorphose
Frontalier à la place de la Libération se trouve l’immense Gare du Sud. Anciennement gare de trains, la Gare du Sud est un superbe bâtiment en pleine refonte.
Cette refonte s’organise de la manière suivante :
- 3 500 mètres carrés de commerces,
- des restaurants,
- une cinémathèque,
- un cinéma multiplexe,
- un centre sportif,
- un marché couvert
- et un parking souterrain de 700 places.
En résumé, avec ce quartier vous avez accès à tout rapidement ! De quoi attirer les résidents en quête d’un style de vie urbain animé.
Qui était Alfred Borriglione ?
Alfred Borriglione, né le 17 février 1841 à Nice et mort le 29 août 1902 à Sospel, était un homme politique républicain français, avocat, maire de Nice, député et sénateur des Alpes-Maritimes sous la Troisième République.
Après des études de droit à la faculté d’Aix-en-Provence, Alfred Borriglione commence sa carrière politique en s’opposant à l'Empire lors du plébiscite de 1870. D'abord proche du « Comité niçois », qui souhaite le retour du comté de Nice à l'Italie, il se rallie ensuite à la République française en 1876.
Homme de gauche, Borriglione soutient dès lors Léon Gambetta et Jules Ferry et siège au sein de l'Union républicaine.